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10 septembre 2018 1 10 /09 /septembre /2018 10:11
Bassin de Thau : malgré la malaïgue, il y aura des huîtres à Noël...ce qui n'est décidément pas une  chance,sauf pour la bourse des  "Triploïdeurs" !
On peut faire pencher par contre une balance , pour ou contre le
 
 
 
 
 
 
// Glyphosate : Le vote de la dernière chance !!! #onlacherien
 
Chère amie, cher ami,
 
A partir du mercredi 12 septembre 2018, les députés seront appelés à voter une dernière fois l’ensemble de la loi Agriculture et Alimentation. A cette occasion, les députés auront la possibilité de voter un amendement interdisant le glyphosate au plus tard dans 3 ans.
 
La vaste mobilisation réunissant plus de 150 000 personnes qui a eu lieu ce week-end en faveur d'une planète vivable doit se traduire par un sursaut de mobilisation.
 
C’est notre dernière chance d’interdire cette substance classée « cancérigène probable » par l’Organisation Mondiale de la Santé. Après, il sera trop tard !!!
 
 

-Note "attention ,rédaction  buguée !  " par  l'administration du blog :

La presse locale  écarte la gravité primordiale de la pollution entropique .en ne prenant pas en compte la  morbidité  cancéreuse  et celle des microbilles et  trompe son monde par un focus  unique sur ce qui se joue et se répète en terme de  drame "écologique " :

La malaïgue l'essentiel sujet de préoccupation pour l'instant .


Reste  que médiatiquement  , y aurait matière pour autant,à développer  autrement et  plus sérieusement,la dimension  multifactorielle de la crise  sanitaire que subit récurrement l'étang de Thau .)  .

 La suite à lire dans le  Midi Libre n'est pas une fake news,mais la déclinaison  d'une  pratique journalistique relative et incomplète.Cette médiatisation est orientée, car l'article écrit par PATRICE CASTAN favorise  un  déraisonnement de l'opinion ,ce qui  ressemble à une méthode journalistique  inadapté à la factualité .Le journaliste est partial ,il restitue un  exposé en bisounourserie informative,   qui   atteste d'une  situation certes dommageable bio-économiquement ,mais mal  transcrite par sa presse,les représentant politiques et professionels,tels les    "connaisseurs"attitré  (ou soit disant ),que seraient  Audrey Imbert  et Jean-Christophe Cabrol .Qu'ils expliquent à Alain Vidal et fils ,qu'il "est interdit d’épandre des pesticides dans certaines zones, dites de « non traitement », en bordure de cours d’eau".

C 'est en Natura 2000  que cette zone agricole doit être classée ,car " un arrêté ministériel passé en mai 2017 introduit un flou dans la définition de ces zones, laissant notamment aux préfets la possibilité de s’appuyer sur des nouvelles cartes des cours d’eau moins précises, élaborées souvent sous la pression de certains syndicats agricoles, comme Reporterre l’avait raconté."

On peut alors rendre compte que l’habitabilité villageoise du pourtour viticole de l'étang devient une question de sécurité humaine,que la perte de revenus conchylicoles reste à charge  pour les  exploitants de coquilles en ce qui concerne la malaïgue.Et qu'il leur incombe aussi des responsabilités:celles  dues à  leurs inactions(concurrence effrénée et pathologique entre éleveurs de coquillages  ,course à la rentabilité avec un trop-plein  de tables sur l'étang) ),dissimulations(Les services sanitaires ne contrôlent depuis des années,que  les exploitations réputées  les plus saines,les tricheurs passent à la trappe ) , et manque d'anticipation écologique et d’exigence envers les pollueurs agricoles... du comité d’expertise. Pour ce qui est de réparer les dommages causés,les personnes affectées n'attendraient-elles  pas que ce comité   initie au plus tôt  la création d'un fonds de réparation et de solidarité,auquel cotiseraient les  corporations professionnelles  qui font préjudice au domaine environnemental terrestre et maritime et  à la santé publique ?

 La  définition de calamité agricole est par contre mensongère et à décharge pour le Préfet,la  Direccte Occitanie et l'Ifremer ... qui sont plongés dans  leurs rituels communicatifs ou in-communicatifs habituels .Tout ça pour ne pas dire et assumer que l'étang de Thau est simplement une décharge de chimie agricole et un danger alimentaire permanent pour les consommateurs .

Ceci étant ,selon un autre journaliste Fabrice Nicolino : "L'industrie des pesticides est devenue criminelle"  ,et selon le journal Le devoir , l'humanité est placée devant :Un génocide environnemental prévu  .Cependant  que la gabegie institutionnelle,bénéficie elle,de  ses complicités   attitrées en fonctionnant avec les deniers de l’État,quand on est  journaliste Sètois au midi libre avec un chef d'agence autrefois corrompu par  la municipalité incriminée,autant ne pas dire  à ses lecteurs que c'est avec l'argent et le patrimoine détourné des gens  de Loupian,que  se crée la gabegie :le    vacuum est voulu ,il est  généralisé à  une large population , toute information est tout simplement  non  adapté à leur prévention environnementale immédiate et  au bénéficiaires (du moins ceux qui s'en  tireront indemnes)  dans le futur

Seul un organisme indépendant comme   Remera, l'association qui recense les malformations  pourrait lever tout ces  lièvres masqués,autour de l’étang,par l'épisode de malaïgue qui a dévasté les élevages en août. ! Avec  cette Urgence du vivant : « La bioéconomie oblige les logiques libérales à se réformer

 

-Sachant que  Nyssen lance une mission sur la déontologie de la presse ,voici l'article, bugué du fait ,commis par  le  stylographe à lisser de PATRICE CASTAN:

"Le comité d’expertise vient d’estimer que la malaïgue a tué cet été 3 921 tonnes de coquillages. La reconnaissance du sinistre devrait être validée le 17 octobre. Le point avec Patrice Lafont, président du Comité régional conchylicole.

Le comité départemental d’expertise s’est réuni le 30 août. Quel bilan peut-on tirer, à ce jour, de la malaïgue qui a touché les zones conchylicoles cet été ?

 

100 % des moules ont succombé. Ça, nous le savions. Pour les huîtres commercialisables, les expertises estiment les pertes à 53 % sur Marseillan, 67 % à Mèze. à Bouzigues, seules les tables situées "à terre" (où il y a moins de fond, NDLR) ont été touchées.

Dans ces conditions, comment appréhenderez vous les fêtes de fin d’année ?

Sur les trois zones de production, une (la plus à l’Est, NDLR) a été totalement épargnée. Alors oui, c’est une catastrophe, mais nous arriverons à répondre à la demande à Noël : nous avons perdu 3 000 tonnes d’huîtres, mais il en reste 7 000.

Où en est la procédure de reconnaissance de l’état de calamité agricole ?

Le comité départemental réunissant services de l’état, représentants des organisations professionnelles agricoles, des banques, de la chambre d’agriculture, etc., s’est donc réuni ce 30 août. C’est lui qui statue sur les événements climatiques exceptionnels. Concernant la conchyliculture, il a validé les expertises faites par la DML (délégation à la mer et au littoral).

Ceci étant fait, le comité a jusqu’au 12 septembre pour constituer un rapport qui sera transmis au CNGRA (Comité national de gestion des risques en agriculture). C’est ce comité qui avalisera, ou pas, la reconnaissance de calamité agricole. Nous le saurons le 17 octobre. Suivront un arrêté ministériel, puis un arrêté préfectoral qui sera affiché dans les mairies. Les professionnels auront alors 30 jours pour communiquer leurs dossiers de demandes d’indemnisation.

Indemnisations de l’Etat qui, dans tous les cas, seront très en dessous des pertes réelles...

Oui. La calamité agricole est une mesure disons assez symbolique. En conchyliculture, la règle, c’est 12 % s’appliquant à 90 % des pertes subies. C’est très peu. Et c’est d’autant plus symbolique que pour établir la valeur des stocks, l’Etat s’appuie sur un barème qui n’a pas été revu depuis 2006 ! Or, les coûts de production du coquillage (avec notamment les mortalités dues à l’herpès virus), et leur valeur à la vente, ont depuis progressé de près de 30 %.

Le comité a par exemple estimé le prix de revient d’un kilo d’huître à 1,75 € (4,73 M€ pour 2 703 tonnes perdues). Or, on se situerait plutôt aux alentours de 2,50 €. Au total, la valeur attribuée aux 3 921 tonnes de coquillages perdues (huîtres et moules) est de 5,948 M€. Je l’estime pour ma part à 7 M€.

Sur quoi compter, alors ?

Si les sommes à attendre de l’Etat seront loin de compenser les pertes (ce sera au final environ 2 % d’aides au regard de la production marchande), la reconnaissance de l’état de calamité agricole permettra en revanche de solliciter les collectivités - Région, Département, Agglo - et d’obtenir des allégements et reports de charges, que les entreprises conchylicoles ont forcément du mal à assumer après cette crise.

Et les banques ?

Le Crédit Agricole et le Crédit Maritime ont déjà réagi, avec des reports d’annuités et des prêts de court et moyen terme qui permettront par exemple aux ostréiculteurs de réensemencer.

Que doivent aujourd’hui faire les professionnels touchés par cette malaïgue ?

Ils ont normalement déjà reçu, à ce jour, le document de déclaration de mortalités de la part de la DDTM, qu’ils doivent remplir. Ces documents seront ensuite centralisés au Comité régional conchylicole (à Mèze, donc). Le tout doit être fait avant le 14 septembre. Si l’on veut avoir un déblocage de fonds rapide, il ne faut pas perdre de temps. Et si tout va bien, nous aurons un premier acompte, de 30 %, avant la fin de l’année.

Et donc pas d’inquiétude particulière pour répondre à la forte demande de fin d’année ?

Non. à condition, bien sûr, qu’une forme de solidarité se mettre en place entre les conchyliculteurs des zones les plus touchées et ceux que la malaïgue a épargnés.

Le comité départemental d’expertise s’est réuni le 30 août. Quel bilan peut-on tirer, à ce jour, de la malaïgue qui a touché les zones conchylicoles cet été ?

100 % des moules ont succombé. ça, nous le savions. Pour les huîtres commercialisables, les expertises estiment les pertes à 53 % sur Marseillan, 67 % à Mèze. à Bouzigues, seules les tables situées "à terre" (où il y a moins de fond, NDLR) ont été touchées.

Dans ces conditions, comment appréhenderez vous les fêtes de fin d’année ?

Sur les trois zones de production, une (la plus à l’Est, NDLR) a été totalement épargnée. Alors oui, c’est une catastrophe, mais nous arriverons à répondre à la demande à Noël : nous avons perdu 3 000 tonnes d’huîtres, mais il en reste 7 000.

Où en est la procédure de reconnaissance de l’état de calamité agricole ?

Le comité départemental réunissant services de l’état, représentants des organisations professionnelles agricoles, des banques, de la chambre d’agriculture, etc., s’est donc réuni ce 30 août. C’est lui qui statue sur les événements climatiques exceptionnels. Concernant la conchyliculture, il a validé les expertises faites par la DML (délégation à la mer et au littoral).

Ceci étant fait, le comité a jusqu’au 12 septembre pour constituer un rapport qui sera transmis au CNGRA (Comité national de gestion des risques en agriculture). C’est ce comité qui avalisera, ou pas, la reconnaissance de calamité agricole. Nous le saurons le 17 octobre. Suivront un arrêté ministériel, puis un arrêté préfectoral qui sera affiché dans les mairies. Les professionnels auront alors 30 jours pour communiquer leurs dossiers de demandes d’indemnisation.

Indemnisations de l’Etat qui, dans tous les cas, seront très en dessous des pertes réelles...

Oui. La calamité agricole est une mesure disons assez symbolique.

En conchyliculture, la règle, c’est 12 % s’appliquant à 90 % des pertes subies. C’est très peu. Et c’est d’autant plus symbolique que pour établir la valeur des stocks, l’Etat s’appuie sur un barème qui n’a pas été revu depuis 2006 ! Or, les coûts de production du coquillage (avec notamment les mortalités dues à l’herpès virus), et leur valeur à la vente, ont depuis progressé de près de 30 %.

Le comité a par exemple estimé le prix de revient d’un kilo d’huître à 1,75 € (4,73 M€ pour 2 703 tonnes perdues). Or, on se situerait plutôt aux alentours de 2,50 €. Au total, la valeur attribuée aux 3 921 tonnes de coquillages perdues (huîtres et moules) est de 5,948 M€. Je l’estime pour ma part à 7 M€.

Sur quoi compter, alors ?

Si les sommes à attendre de l’Etat seront loin de compenser les pertes (ce sera au final environ 2 % d’aides au regard de la production marchande), la reconnaissance de l’état de calamité agricole permettra en revanche de solliciter les collectivités - Région, Département, Agglo - et d’obtenir des allègements et reports de charges, que les entreprises conchylicoles ont forcément du mal à assumer après cette crise.

Et les banques ?

Le Crédit Agricole et le Crédit Maritime ont déjà réagi, avec des reports d’annuités et des prêts de court et moyen terme qui permettront par exemple aux ostréiculteurs de réensemencer.

Que doivent aujourd’hui faire les professionnels touchés par cette malaïgue ?

Ils ont normalement déjà reçu, à ce jour, le document de déclaration de mortalités de la part de la DDTM, qu’ils doivent remplir. Ces documents seront ensuite centralisés au Comité régional conchylicole (à Mèze, donc). Le tout doit être fait avant le 14 septembre. Si l’on veut avoir un déblocage de fonds rapide, il ne faut pas perdre de temps. Et si tout va bien, nous aurons un premier acompte, de 30 %, avant la fin de l’année.

Et donc pas d’inquiétude particulière pour répondre à la forte demande de fin d’année ?

Non. à condition, bien sûr, qu’une forme de solidarité se mette en place entre les conchyliculteurs des zones les plus touchées et ceux que la malaïgue a épargnés ;.

PATRICE CASTAN"

- Notes sur"  la Malaïgue commerciale et judiciaire ,autres nauséabondances":

 Relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire - Sénat-

- A moins qu'il n'existe  pas de  principe de séparation des affaires qui  interdise aux juges d'empiéter sur un autre  domaine judiciaire,il y aurait  des nauséabondances au sein  de  la justice du siège de Montpellier:du favoritisme pro-municipalité   . L'institution se permet d’interférer  le Droit, légitimiste l'illégitime , quand elle agit  en  lobbyiste des poisons,assistée  en cela par le cabinet gris de  Gaël D'Albenas  .Ces juristes du barreau de Montpellier se font par là ,et leur beurre ,et leur réputation comme étant l'un des auxiliaires de justice les plus toxiques et efficaces du département.Ces juristes  sont en effet des  spécialistes  en blanchiment de l'ombre des délinquances municipales .Le maire calamiteux  bénéficie de  calamités  juridiques  produites par  ces maffieux publics.

Et c'est par le truchement de  l'assistance  fonctionnelle(Protection fonctionnelle : agent public victime ),que les délinquances municipales se blanchissent à  l'ombre des tribunaux :par contre pour ce qui est du glyphosate illégalement épandu ,les empoisonnés sont les payeurs et remplissent éventuellement les caisses de ces avocat gris!

 Mais quel plaignant  voudrait donner dans le bâtonnier pour en débattre ?Ou en est l’enquête de gendarmerie qui a fait que le maire de Loupian fu entendu par la brigade de Mèze?

En attendant le " sans corrumpance " et le "sans poison  ",tout un  système irrégulier et opérationnel s'est rodé pour le plus  grand  bonheur d'Alain Vidal . Comment donner dans   le plan blanc, pour faire face à un afflux massif de victimes.  en cas d’alerte avec une justice et des élus pareils ?
Déjà qu'il  se trouve toujours,au cas ou  il ne suffirait plus de frauder en toute quiétude municipale , des magistrats Montpelliérains qui à leur tour,s'éclatent la robe en  faveur de l'édile  .Ceux qui trouvent bizarre  que ces magistrats qui ne disent pas la loi (mais prennent position), n'ont   pas à mourir  de honte pour autant, probablement se doivent   seulement d'entendre et de s'attendre à ce que leur système d'influence directe soit  dénoncé !

 Eux qui,lors d'une audience au palais ,l' ont soutenu publiquement, ont "héroïsés" l'actuel maire  de Loupian  ,l'appuyant dans sa lutte pour rester le  premier pollueur municipal illégal accusé en justice dans l'Hérault.

Il y a peu ,alors qu'un justiciable était à la barre pour comparaitre dans une  affaire le concernant,ces juges sachant que cette personne  était l'une des  familiers de l'auteur d'une plainte"Glyphosate " en lancement d'alerte,contre le premier magistrat de Loupian .ont tenté d’influencer ce proche  bravant ainsi délibérément le  Code pénal - Article 433-2 | Bravo à ces  bravaches en robes noires  qui se mettent complaisamment  à la place de leurs collègues juges d'instruction :ils se donnent l'opportunité de poursuivre... une discussion sur un autre débat judiciaire que celui pour lequel ils étaient en mission!

Que des juges utilisent leurs audiences pour verrouillez un autre dossier en faisant pression sur le comparant,cela constitue une immixtion abusive du pouvoir de ces juges  dans une seconde procédure judiciaire.Si cça se passe sous l’œil contemplateur de la défense de la partie adverse ,cela constitue une auxiliaire complicité du non-Droit  ,une illégalité fonctionnelle qui  fait interférence  scandaleuse avec  le droit commun .

 Non seulement les juges en question encouragent ouvertement un maitre  asperseur de  cancérogène probable ,à continuer d'en faire  usage (Lui et son lobby  chimicole  de la FDSEA),de pesticides de synthèse) ,mais une procédure de sanction pourrait s'ouvrir à l'encontre des professionnels de la justice ayant transgressé  leur déontologie (cf: .Rétablir le délit de forfaiture dans le code pénal: la proposition de loi Martin du 10 mars 2017 )

Qu'en couterait-il aux juges qui violent les devoirs essentiels de leur charge pour prendre parti pour l'empoisonnement public à travers un fraudeur(élu rural,et aide-viti pour le compte de son successeur à la vigne), qui lui conserve de toute façon sa réputation et sa médaille de "déclencheur de cancers" (professionnels et infantiles ) ?

Ainsi, en matière de responsabilité civile, la loi du 18 janvier 1979 prévoit que les magistrats du ministère de la justice doivent répondre personnellement de leurs fautes, mais que la mise en cause de leur responsabilité ne peut résulter que d’une action récursoire de l’État, après que celui-ci a été lui-même condamné pour dysfonctionnement du service public de la justice. Le législateur n'a pas souhaité rendre l'action récursoire systématique, le Parlement a préféré établir un lien entre la responsabilité civile de l'Etat et le régime de responsabilité disciplinaire des magistrats. La loi organique du 5 mars 2007 a ainsi inscrit à l'article 48-1 de l'ordonnance statutaire.

 L'homme Vidal,qui est est réputé pour son acharnement systématique contre les  professionnel possesseurs de mas situés sur le port à coquillages  de  sa commune (aux limites de cet étang remarquable   et célébré pour sa  conchyliculture essentiellement  triploidique), a donc  été à  lui  seul  l'un des  plus gros   vaporisateurs de chimie sur le pourtour de Thau : il continue sur la voie publique .

 -Une des questions qui se pose  sur ce lobbying "pro maire empoisonneur "de la justice et le mono-poli municipal de Me D'Albenas serait de savoir s'il existerait un 'impunité institutionnelle de fait pour les pollueurs-tueurs ? 

Le journaliste PATRICE CASTAN(,ou à un autre), pourrait mener l’enquête sur le maire de Loupian,afin apporter une réponse franche  à ses lecteurs  ...  Mais le rédac chef François Doré ayant  été acheté par Turrel(l'ex-édile qui a "dauphinisé" Alain Vidal),quel journaliste se risquerait donc maintenant à se coller au dossier ?Il y a à la fois ce  blocage médiatique,et un  dysfonctionnent fonctionnel du service de Mme Nicole Belloubet .Cette qui mériterait bien le montage manu militari  d 'une commission d'enquête parlementaire  ,qu'elle soit diligentée par un parlementaire National( Ceux de la 5em ou de la 7 em circonscription de l'Hérault des élus

pourraient par la suite,se constituer partie civile comme élus de la Nation dans le futur procès  ) ,ou par Yaël Braun-Pivet (LREM),qui comme  présidente de la commission des lois,pourrait aussi se doter de cette prérogative.

-Nauséabondances de GLYPHOSATE sur le bassin versant autour du Pallas et dans l'étang de Thau

 
 

-Avec cette nauséabondances de produits chimiques agricoles,il s'ajoute celle des  plastiques dans l'eau marine de Thau.C'est du moins le sens du  message de la Banque mondiale dans un rapport sur le sujet  .Dans cette situation ,quel amateur  voudrait encore déguster de ces huitres flambées aux micro-particules de pétrole et aux pesticide pour Noël 2018  ?

Si les gens souhaitent  continuer  de consommer sans doute et  risque de la coquille de l'étang"singulier",encore faudrait-il que le pays de Thau ,l'Occitanie et le reste du territoire  imite purement et simplement   La Dominique, premier pays au monde à interdire le plastique

-Explication par l'enquête journalistique :

INTERVIEW - Avec l’enquête de Sandrine Rigaud, étayée de ses interviews musclées, Élise Lucet dénonce, dans un nouveau numéro de Cash investigation, ce mardi à 21 heures sur France 2, la mauvaise foi des marques et met en évidence les poisons que contiennent les plastiques

TV MAGAZINE. - Pourquoi commencer la saison avec le plastique?

Élise LUCET. Parce que le grand public éprouve une inquiétude réelle et que chacun pendant l’été a eu le temps de constater l’immense pollution engendrée par le plastique. Pour 10 tonnes fabriquées, une tonne finit dans les océans toutes les 2 secondes! En 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans.

Vous vous attaquez en particulier à Coca-Cola. Pourquoi cette marque?

Parce qu’il fallait trouver un exemple et qu’on a découvert que ce groupe s’était engagé en 2008 à recycler une partie de son plastique, mais ne l’a pas fait. Dans un document confidentiel récent, on a même découvert qu’il s’opposait formellement à toute forme de consigne et à la multiplication des lieux de recyclage et de collecte, car cela lui coûte. Parallèlement, il développe une stratégie pour nous culpabiliser.

Laquelle?

En collaboration avec les lobbies de l’emballage, elle rend le consommateur responsable de la pollution. D’un côté, le groupe crée des associations qui veulent rendre propre la planète (grâce aux usagers) et, de l’autre, il intensifie la production de plastiques qui contiennent des poisons...

» LIRE AUSSI - Elise Lucet: «Delphine Ernotte reçoit des lettres de menaces pour Cash investigation»

Un retour en arrière est-il possible?

Il y a une telle saturation! On voit bien que les gens cherchent de nouvelles solutions durables. Comme retourner aux bouteilles en verre avec consigne… Je crois que cette spirale est réversible.

Face au numéro 2 de Coca-Cola, vous gardez encore un aplomb exceptionnel. Comment faites-vous?

Pour mettre les dirigeants face à leurs contradictions, il faut des arguments et des preuves! Et pour cela, j’ai la chance d’avoir une équipe de reporters passionnés qui travaille dans une liberté totale vis-à-vis des politiques, des lobbies, des annonceurs.... C’est l’atout du service public!

Un retour après la diffusion de l’émission sur Nicolas Sarkozy que vous aviez tenté en vain de joindre?

Non, mais il n’a pas porté plainte! On ne fait pas cette émission pour «dézinguer» les gens. On le fait avec sérieux et un maximum de vérifications juridiques. C’est un réflexe à présent. Ça fait partie du job! Avant, on était naïf...

 

-En cours ,actualité juridique  Glyphosate :Contre le glyphosate, «la justice peut nous entendre»

 60nouvelles plaintes contre le glyphosate ont été déposées hier au tribunal de Foix. Le mouvement initié en Ariège prend de l'ampleur et se diffuse partout en France.

«On reçoit des centaines de mail de toute la France. Des gens nous disent : il y a des agriculteurs qui déversent du glyphosate dans le champ devant chez nous et on ne sait pas comment agir. Avec ces analyses d'urine puis ces dépôts de plainte, on a les moyens d'agir.» Hier, à l'image d'Agnès, membre de la Campagne glyphosate, 60 Ariégeois ont déposé plainte contre les fabricants de l'herbicide et celles et ceux ayant permis sa mise sur le marché. C'est la deuxième vague de plaintes en Ariège, huit Faucheurs volontaires avaient déjà saisi la justice le 15 juin dernier. Le tribunal de Foix s'était alors dessaisi de la question au profit du Parquet de Paris. «Ces nouvelles plaintes vont être jointes aux premières, ainsi que les contrôles des huissiers», indique Me Guillaume Tumerelle, l'avocat des plaignants. «Pour que les choses soient carrées, nous faisons tout sous contrôle d'huissiers», souligne Agnès. Elle reprend : «Il est possible que la justice prenne acte de ces plaintes, de nos arguments, et de tout le mouvement citoyen qui est derrière nous. Il faut s'emparer de la justice, qui est une arme. Elle peut nous entendre. Par exemple, on a réussi à aller jusqu'à la Cour de justice de l'Union européenne» (lire l'encadré).

Les députés aussi !

Parmi les 68 personnes qui ont désormais déposé plainte, «il n'y en a pas un qui a un taux de glyphosate dans les urines inférieur à la limite acceptée dans l'eau !», s'exclame Agnès. Myliane, de Sainte-Colombe-sur-l'Hers, affiche par exemple un taux 12 fois supérieur à ce plafond… Elle témoigne : «Je mange pourtant bio, je bois du vin sans sulfites, je vis en Ariège… C'est fou que les politiques ne tiennent pas compte de la santé publique !»

 

Après avoir déposé plainte, François, de Mazères, a une pensée pour son père : «Il était agriculteur, et il est mort de Parkinson parce qu'il appliquait des pesticides sans protection. Moi, j'ai toujours fait du maraîchage et des céréales bios. Donc on sait que les alternatives existent. Mais il faut donner du temps et des aides aux agriculteurs actuels pour qu'ils aillent vers une agriculture propre…» François tient d'ailleurs à souligner qu'il a choisi ce mode d'action «non-violente et qui peut être efficace.»

Lui et les 67 autres plaignants ne sont d'ailleurs pas seuls, une troisième campagne de dépôt de plainte d'Ariégeois devrait suivre. Très prochainement, les deux députés Insoumis, Bénédicte Taurine et Michel Larive, devraient eux aussi réaliser des tests dans les urines. Par ailleurs, pas moins de 25 groupes similaires à celui créé en Ariège sont en cours de création, à Paris, en Bretagne, dans le Rhône, en Gironde ou en Alsace… «Vu la situation, conclut Dominique Masset, l'un des responsables du collectif ariégeois, il est urgent d'arrêter de balancer des saloperies dans les champs !»


Le 20 novembre à Luxembourg

Le combat des antipesticides avait débuté en 2016, lorsque certains d'entre eux s'étaient introduits dans un magasin pour rendre impropres à la vente des herbicides contenant du glyphosate. Lors du procès de ces Faucheurs volontaires, le tribunal avait entendu les arguments de Me Guillaume Tumerelle, l'avocat des prévenus, et saisit la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE). En cause, les méthodes d'évaluation ainsi que les autorisations de mise sur le marché de ces pesticides. L'audience doit avoir lieu le 20 novembre prochain à Luxembourg.

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